Les 8 Salopards
Titre original: The Hateful Eight
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genre:
- Western
Public:
Année de production: 2015
Date de sortie:
06/01/2016
Durée: 3h02
Synopsis :
Après la Guerre de Sécession, huit voyageurs se retrouvent coincés dans un refuge au milieu des montagnes. Alors que la tempête s'abat au-dessus du massif, ils réalisent qu'ils n'arriveront peut-être pas à rallier Red Rock comme prévu...
Avis des internautesdu film Les 8 Salopards
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Publié le 21 janvier 2016
Il y a huit bonnes raisons d’adorer ou de détester le nouveau Tarantino. Pour son huitième film cela pourrait être un clin d’œil.
A commencer par le positif. 1° Rien à dire, au niveau visuel, c’est formidable, que ce soit avec la profondeur du champ, l’intelligente alternance de plans étonnants, la photo, le choix du désert de neige… tout est fait pour impressionner et c’est réussi. 2° La musique de Morricone, si elle n’est pas exceptionnelle, nous ramène aux bonnes vieilles heures des westerns spaghetti, pour un hommage, c’est plutôt plaisant, 3° On prend un plaisir coupable à rire (et ça arrive très souvent) de cette ubuesque situation, 4° les acteurs qui en font des tonnes, sont vraiment bons dans leur rôle parodique.
Dans « Les huit salopards », on trouve donc des scènes d’anthologie (une pendaison, la rencontre entre « le Marquis », « le bourreau » et Daisy Domergue…), un sens à l’excès prompt à servir le spectacle, un hommage appuyé plutôt réussi.
Mais il y a aussi le négatif. 1° Tarantino cultive le second degré, notamment sur le racisme, met il y met une telle passion que cela pourrait donner l’impression, pour un esprit primaire que c’est une espèce de défouloir (même reproche que je faisais déjà à « Django Unchained »). Il semble ne pas connaître de limite. 2° Ce qui est une habitude chez lui, c’est le verbiage, ou l’art, par la logorrhée digressive d’ennuyer le spectateur (la troisième partie est dans ce sens pénible), voire de l’endormir. 3° Il y a un vrai problème de rythme dans le récit, où l’on oscille entre des super concentrés d’actions (souvent gores, mais fun) et de longues scènes (parfois redondantes) et un peu vaines. 4° Au final, il apparaît quelques invraisemblances scénaristiques, mais bon cela est de coutume dans les westerns.
Au final, dans le sens propre du terme j’ai passé un bon moment de cinoche, au figuré pointe quand même une déception, Tarantino tout doué qu’il soit, ne réussit pas cette fois encore à livrer un film complètement abouti.
Publié le 20 janvier 2016
Film se traduis par de la violence gratuite.les scènes en dehors
du chälet, nous fait découvrir la beauté des panoramas enneigés (seule satisfaction).
Beaucoup de sang ainsi que les dialogues monotones. De plus le film est trop long.
De plus, du petit Tarantino.
Publié le 7 janvier 2016
Huit salopards… huit comme le nombre de longs-métrages réalisés par Quentin Tarantino. (On vous invite à faire un petit break et à essayer de trouver le titre de ses sept réalisations précédentes…c’est bon, vous avez trouvé ? ;-) ). Huit… soit la note que Stanley accorde à ce huit-clos époustouflant, oppressant et palpitant.
On le savait en se rendant dans notre salle de cinéma préférée : en entrant dans l’univers des « Huit salopards », nous serions immergés dans un univers sombre, une intrigue aux multiples rebondissements et à la rencontre de personnages hors normes. On s’en doutait mais on n’imaginait pas que ce serait à ce point là. Au carrefour d’œuvres telles que « Reservoir dogs » (avec Michael Madsen et Tim Roth justement) et « Django Unchained » pour la violence qui s'en dégage, on ne peut que s’exclamer « Dieu que c’était bon ! » à la sortie de la projection.
Notre avis complet est disponible sur : http://www.ecran-et-toile.com/janvier-2016/les-huit-salopards
Publié le 7 janvier 2016
Disons-le tout de suite :cela ne vaut pas django!
le film est beaucoup trop long, et les dialogues, monologues aussi!
mais les quelques paysages extérieurs hors huis-clos sont splendides.Et puis il y a le climat , l'ambiance bien rendus ...
beaucoup de sang de violence ....
un Tarantino moyen donc.
- 1
Jean-Marc